
Dans le cadre d’une vente immobilière, l’estimation du bien mis en jeu est nécessaire pour déterminer son prix sur le marché. La fiabilité de la démarche définit les conditions de la transaction. Découvrez comment.
Le cas d’une surestimation
Une surestimation fait référence à un prix trop élevé par rapport aux valeurs courantes sur le marché. Cela survient surtout lorsque la démarche a été effectuée de manière subjective ou par une personne qui ne connaît pas suffisamment les montants en vigueur. À la découverte d’un prix surcoté, les acheteurs se prépareront à négocier. Ils seront à l’affût du moindre défaut pouvant dévaluer le bien davantage. Le vendeur risque alors de le céder à une somme inférieure à son objectif.
Le cas d’une sous-évaluation
La sous-évaluation se manifeste par un montant très inférieur aux cours normaux. Ceci se produit quand le bien connaît plusieurs défauts. Le coût de sa restauration est alors déduit de son prix en l’état. Plus il y aura d’anomalies à relever, plus sa valeur est réduite. En une telle situation, peu d’acheteurs se risqueront à l’acquérir. Ceux qui voudront la découvrir lors d’une visite seront exigeants concernant le type de rénovations à effectuer et par rapport aux devis. Les chances de les séduire sont donc minimes et la vente du bien sera retardée.
Le cas d’un prix correct
Le prix de l’annonce est jugé correct lorsqu’il s’aligne parfaitement aux valeurs opérées sur le marché local et au moment de la mise en vente du bien. C’est le résultat d’une estimation immobilière à Brantôme réalisée en toute neutralité. La démarche a également pris en compte les montants courants. Les négociations sont rarement admises dans une telle situation. Vendre le bien au prix est donc tout à fait possible. De plus, une somme cohérente retiendra l’attention du maximum d’acheteurs. Il est alors facile de céder la propriété dans les meilleurs délais.